Deux mille neuf, l’année de la seuf *

Hey hey hey,

Un petit message rapido pour dire “hey salut toi qui est abonné à mon fil RSS !” (comment ça tu n’y es pas encore abonné Internaute? Mais allez, allez) et puis pour faire suite à mon premier post enervé de l’année 2009 (désolé Soso) et repartir sur une note un peu plus joyeuse.

Bonne année au fait ! (oui, oui j’ai jusqu’au 31 janvier pour vous le dire) et puisqu’on est encore au mois de Janvier et que nous sommes encore au crépuscule d’une nouvelle année, je me permets de dresser la liste des choses que je vais faire en 2009 pour donnez un côté plus touchy, glamour, whaow!, vlam, bim, groovy, fizzzzzz à ma vie. C’est comme ça que je fonctionne. Des listes. Barrer les listes. Recommencer les listes. C’est très Petit Caporal comme système, mais ça fonctionne bien sur moi.

Plutôt, je vais d’abord me remémorer ce que j’ai fait en 2008 (pas tout, hein, l’essentiel en deux-trois points disons) :

– Je m’épile plus souvent parce que j’ai trouvé un mec
Non, j’déconne… C’est pas l’essentiel. Bon j’arrête les conneries.

Alors, en 2008 :
Le positif :

– J’ai trouvé un boulot à Montréal. Ouais, big up, c’était pas gagné.
– J’ai trouvé un mec. Ouais, gros big up, je commencais à desespérer.
– J’ai continué ma route en visitant New-York (x2 — ouais, j’y suis allé pour les fêtes ! Brooklin represent’), et Chicago et d’autres régions magnifiques du Québec.
– Je n’ai pas perdu Souris (oui, puisque je l’avais déjà perdu en 2007)
– J’ai commencé à me nourrir de façon plus raffiné (remember les lasagnes, les risottos, les couscous, etc.)

Le négatif:
– Je ne dessine pas assez pour moi et continue à me prostituer graphiquement pour des clients qui puent des dessous de bras. Et de l’haleine. Et du cul aussi.
– Je n’ai toujours pas appris à jouer d’un instrument de musique.
– Je n’ai pas appris de nouvelle langue, j’ai même plutôt régresser en anglais.
– Je n’ai toujours pas trouver ce que je voulais faire et ce qui me rendra méga happy bisounours face dans la vie (mais j’y travaille).
– Je trouve que je n’ai pas assez voyagé non plus.

Soooo, pour 2009 :
– Rester à Montréal car j’ai enfin reçu mon visa-sésame pour rester une année de plus ici ! (clap your hands, say yes!)
– Faire plus de choses pour moi, c’est-à-dire : découper, peindre, dessiner à l’encre de chine, à l’aquarelle ou au gros pastel gras, dessiner des typos. Revenir à la matière, parce que tou voi la façon qu’on a dé outiliser el ordenador y les automatismes qui se créent, ça commence à me sortir par les trous de nez.
– Check, pour mes 25 ans (dans 11 mois, donc), je me casse à l’Ile de Paques. Note-le dans ton agenda. C’est prévu depuis que j’ai six ans.
– Puis faire un tour de l’Amérique du Sud pendant qu’on y est. Hein, si je gagne au bingo.
– Présenter mon chummy à la mifa. Héhéhé. That is not such a big deal… héhéhé (mains moites)
– Acheter un ukulélé, et mieux encore, apprendre à en jouer.

Et plus précisément je me dois, je vous le jure et je le signe de mon sang : il y aura des projets qui verront le jour et très très vite; parce que ça suffit comme ça le niasage !

– Faire quelque chose de mes textes/ images de Barcelone : oui enfin !! Allez, je peux.
– Un projet illustration/typo avec Coney Island pour référence et inspiration (en cours de pensage actuellement)
– Des fakes projets d’identités qui pourront me permettre de renflouer mon book à défaut de pouvoir le faire avec les clients de la vraie vie, t’as vu.
– Des dessins par milliers “comme s’il en pleuvait, nu sur le pallier“. (Francis, si tu m’entends)
– Continuer à prendre des photos de bouffe et pourquoi pas réinvestir dans un meilleur appareil photo et penser à l’ouverture de mon café-bar à Bali prévu en 2015 (ou avant, si mes nerfs craquent).

Voilà. Ce n’est pas une mince à faire mais :
YES I CAN ! (comment ça, c’est pas de moi ce slogan?)

En attendant tout ça, j’espère avoir de vos nouvelles. Faites pas les putes over-busy ! On l’est tous.
Puis ptet je rentre en mars à Paname City, mais comme on y est pas encore, je vous bécote encore virtuellement et espère une pluie d’e-mails demain dans ma boîte Chaud-Courrier (traduisez en anglais si vous ne saisissez pas la blague).

Cwistel

* qui fait suite à deux mille huit, l’année de la bite.