Salut, salut !
Christelle is back, back from THE silence. Chui désoléeee… Mais le voilà (enfin !) ce Montréal trois. Autant dire que je me sens honteuse… Mais tout de même, j’ai beau ne pas écrire, bien des amis ne le font pas non plus !! (hein !!)
Par où commencer ? Peut-être en « updtatant » ces petits paragraphes rédigés il y a bien trois semaines… ou pas. J’ai envie d’être déconstruite, brouillonne, « à l’arrache », pas rangée… à mon image quoi !
Ci-dessous, les petits mots que j’avais commencés à écrire, rapidement, lorsque j’essayais de lutter contre le sommeil, il y a trois semaine. Entre crochets, c’est que je me dis au moment présent où je relis ces lignes… Oui, il y a de quoi devenir schizophrène !
« J’ai aujourd’hui posté le premier et second opus des « Montréal » sur mon blog ; ça fait tout drôle de rendre ça public… Je me suis sentie obligée (du coup) de passer quelques noms sous couvert d’anonymat… Sans doute, par peur de déchaîner les foudres du Dieu de la Privacy Policy des blogs. [L’adresse du belogue en exclusivité, vous allez pas être décus: http://christelleisflabbergasting.blogspot.com >>>> ouais, gros, lâche tes coms! MDR de LOL!]
J’ai eu pas mal de boulot ces derniers temps… d’où mon absence virtuelle de vos boîtes mails. J’ai eu de la visite aussi [ouh la ! Je passe du coq à l’âne… tant pis je laisse comme ça]
Comme annoncé dans mon mail précédent, ma sœur et son amie son venues à Montréal. J’appréhendais, vraiment. J’avais eu une sorte de dispute téléphonique avec ma sœur quelques jours avant son arrivée (la veille, en fait) parce qu’elle appelait au mauvais moment et que je venais déjà de passer 30 minutes au téléphone (et 30 minutes au téléphone pour moi, ça en fait bien souvent 29 de trop). Du coup j’avais laissé brûler ma tarte à l’oignon dans le four…
D’ailleurs, en me remémorant ça, je pense que j’en fais bien brûler des choses dernièrement : il y a eu la tarte à l’oignon, une quiche, et de l’huile sur le feu pas plus tard qu’il y a une heure [en fait maintenant, ça fait trois semaines et une heure] et surtout un épisode comique où le jeu était de faire réchauffer (« un peu cramé sur le dessus steup ») un chausson aux pommes dans le mini-four qui BAM prends feu sans crier gare. Pour le coup, c’était pas ma faute. C’était pas moi, c’était ma sœur. Enfin, c’était SON chausson aux pommes.
Flammes, fumée, dialogues d’anthologie : « non ne jette pas d’eau sur la résistance ! », « ouvre la porte, ouvre la porte », « pousse-toi ! Attention ! ». PAF PAF.Torchon. PAF . POUF. PIF. [Vous avez bien compris toutes les onomatopées, hein, pas besoin d’expliquer.]
[Il y a deux jours, j’ai aussi brûlé mon pantalon de pyjama… (le rouge, Cécile !) par négligence… J’ai recouvert l’ampoule de ma lampe de chevet qui projetait une lumière un peu trop intense… et POUF-POUF… Ça a brûlé… et pas qu’un peu. On voyait au travers par deux gros trous… Bref…
Ouh là, il est déjà 23h25 [en fait , là, vraiment, dans le présent, il est 14h41, dimanche 25 mai, je suis sur ma terrasse au soleil et je profite des derniers instants de batterie de mon ordinateur avant d’aller me terrer à l’intérieur]… et demain je dois me rendre plus tôt à l’agence pour finir un travail avant de l’envoyer à la cliente. Ça y est, j’ai des projets qui sont partis. J’ai fait un peu de créa’ sympa et j’ai même mes illustrations qui passent pour un projet !!! Cool !
[Depuis, on m’a sucré du budget sur le projet et le vernis sélectif qui devait être appliqué à l’illustration a été abandonné—les graphistes parlent aux graphistes, désolé pour les autres]
Bon, ce n’est pas du best de crayonné… mais c’est déjà bien. Je suis contente. Y a comme un mieux dans cette vie d’agence de com, malgré le rythme soutenu à tenir. En définitive, je pense travailler fort pour contrebalancer tous ces mois passés à me tourner les pouces à Barcelone et aux trois mois d’inactivité forcée (aka le chômage) lors de mon passage en France. En plus, Porky ne fait pas trop de farces et les collègues sont- de manière générale- sympas. [D’ailleurs, je vais vous en parler d’un, un peu plus loin dans ce mail !!! Ouh laaaa, le cliffhanger de la mort !]
Marion m’a expressément demandé d’écrire ce mail aujourd’hui. On est officiellement encore aujourd’hui pour 33 minutes [il y a trois semaines]. Je sais, je niaise (= je perds bien du temps en québécois) mais les dimanches passent toujours trop vite. J’ai tendance à me réveiller tard sauf ce matin par exemple, où j’ai ouvert les yeux comme un robot à 7h12… Parée à aller travailler. Mais niet. Niet. Niet, douchka ! [Cette « phase robot »/ réveil à 7h a même duré une semaine- c’était vraiment lourd…]
J’ai essayé de scanner mes « dessins de Barcelone » (une vingtaine) mais même le scanner s’est ligué contre moi et n’a pas voulu s’installer. Mon mac rame à mort. Émile, de son nom d’ordinateur des années 2005, se fait vraiment vioc [NDLR— Ouh !Ouh ! J’ai enfin acheté un disque dur externe. Il est beau. Il est rouge. C’est une grosse brique Lego. Il a une capacité de folie. En plus, il vient de New-York Baby. Ouh la !! Comment elle se la pète de trop la meuf !]
Retour dans le présent : j’ai dû migrer de terrasse et passer sur la terrasse à l’arrière – dehors, mais sans soleil, mais dehors quand même. J’avais faim, je me suis préparé un bagel cream cheese et saumon avec une « julienne » de poivrons rouges qui habillent chaque côté du bel anneau de pâte… Marion, Astrid, Cécile, je pense à vous, mes ferventes complices et admiratrices de bagels… Je crois devenir complètement dépendante, une junkie du bagel. J’en mange tout le temps, tellement… que j’ai même reçu un tee-shirt et un bonnet (la classe) du shop de Bagel pas loin de chez moi… En fait, l’un des bagel-maker (je ne sais pas comment l’appeler autrement : un bagel-boulanger peut-être ou un un bageleger… mais là, vous comprenez plus rien) est aussi fan de moi que je le suis des bagels qu’il prépare…
Pour raconter des trucs plus intéressants et changer un peu, je vais vous parler de mon petit week-end à Québec (la ville de Québec pour les néophytes) d’il y a déjà deux semaines [deux mois en fait.]
C’était vraiment bien. Ça faisait du bien. Et c’est fou comme ça a encore réveillé, réanimé mes envies de prendre le large. Comme si j’étais un petit mousse resté trop longtemps au port… Je suis donc allé à Québec avec ma sœur et sa copine un peu gnan-gnan-j’me plains tout le temps-fait trop froid-c’est trop dangereux ou encore « et si on trouve pas ? » ou « Et si c’est fermé ? »… Bref, un bon schtroumf grognon à côté duquel ma sœur (un peu angoissée de nature) passait pour une fille super relaxxx. J’ai donc dû, premièrement, gérer la shtroumphette et enfiler mon gros nez rouge, et deuxièmement, adopter la « positive attitude », même quand tous les éléments auraient pu être contre nous. Exemple : ne pas avoir de réservation d’hôtel pour un week-end de Pâques avec une fille qui ne veut pas aller dormir dans une auberge de jeunesse…
Au delà de ça, c’était un week-end merveilleux avec de la magie dedans. Par exemple, le moment où l’on a enfourché nos traîneaux pour faire du chien de traîneaux sur l’Île d’Orléans, pas loin de Québec. Une île chouette avec ses deux bel éphèbes qui tiennent l’auberge du « P’tit Bonheur » (en référence à une chanson de Félix Leclerc) dont on tomberait facilement amoureuse ! Bref, le week-end parfait, qui vous donne des ailes et vous rebooste pour affronter la vie citadine.
Tout ça, c’était il y a deux mois ! Comme le temps passe vite, les enfants. Ça y est, j’arrête les phrases entre crochets (ça vous a fait mal à la tête ces flashs back passé/ présent ? Regardez donc « l’Effet papillon »… Ou le film qui vous colle la migraine).
Bref, nous revoilà le 25 mai. Comment l’annoncer? Il y a eu un peu de changement dans ma vie. Alors voilà, je vis à Montréal, je travaille beaucoup et… j’ai un mec !
Ouhouh ! La voilà la nouvelle, hop, lâchée dans l’arène.
La grande célibataire que j’étais n’est plus. Resituons un peu : quand je dis « j’ai un mec », c’est pas du chiqué. Ce n’est pas juste un coup d’un soir/d’une semaine/ pour la baise (n’ayons pas peur des mots)… It goes deeper ! En trois mots qui sont bizarres à avouer pour la Bridjette Jaunes que je suis (j’étais) : JE-SUIS-AMOUREUSE. IL-EST-AMOUREUX = PERFECT MATCH !
Alors, biensûr, c’est un secret de Polichinelle. Je sais bien que certaines demoiselles et certains damoiseaux parmi vous sont déjà au courant depuis un boute (comme on dit ici) ; mais voilà, c’est aussi à ça que servent ces longs mails : à tenir informé toute la liste d’amis (et bientôt toute la terre entière !).
Un petit paragraphe sur lui:
-IL m’a dragué dans les règles de l’art. IL m’a emmené au théâtre puis à un match de hockey des « Canadiens » (l’équipe de hockey de Montréal). Souvenez-vous, ici le hockey est une religion. Depuis, les Canadiens ne sont plus en lice pour gagner la coupe finale… mais la ville a vibré « hockey » pendant des mois et « les Canadiens » de Montréal sacrés au rang de demi-dieux. Les places au Centre Bell (le Stade de France Montréalais) s’arrachaient à prix d’or et IL m’y a invité MOI. IL a foutu la rage à tous ces potes en m’invitant MOI au match !!!
Ce jour-là, autant vous dire que j’ai BIEN compris qu’il me draguait (AH BON ?!! NAN !!)… Et après moult réflexions et hésitations (« j’y vais ou pas ? Je suis pas du tout intéressé… Il est gentil mais… ), j’y suis quand même allé !
« Un match des Canadiens en série (les éliminatoires), ça ne se refuse pas !!! « Si tu n’y vas pas, moi j’y vais !!! » m’avait sermonné JP, mon ex-coloc (puisqu’il a déménagé depuis dans un autre appart avec sa belle.)
Bref, IL a été adorable. Et ça faisait longtemps qu’on n’avait pas été adorable avec moi comme ça. Je vous averti déjà : cet homme me rend complètement cul-cul. La suite de ce mail tombe dans le romantisme à deux balles !
Puisque je sais que c’est à ça que vous pensez : je ne suis pas tout de suite passé à la casserole. Pour tout vous dire (disons-nous tout !), j’étais à ce moment-là dans une micro histoire avec un autre gars… que j’avais laissé en plan « seul-avec-ma-bite » à la fin d’une soirée trop arrosée. Un bon ami, qui l’est resté depuis, malgré ce petit épisode. On s’est un peu expliqué- simplement- et voilà, ça aurait pu être lui mon amoureux du moment… ou pas. Qui sait ce que ça aurait pu donner ? En tout cas, j’ai eu à ce moment-là un choix à faire et finalement c’est IL qui l’a emporté… Sans regrets !
Tout se passe vraiment bien depuis maintenant plus d’un mois. Ce qui n’est rien en comparaison à d’autres couples d’amis qui sont ensemble depuis 4, 5 ou 7 ans… Mais, en y réfléchissant bien, ça dure depuis trente fois plus longtemps que mon dernier « mec » (1 jour- vous pigez ?). Tout est simple. On est sur la même longueur d’onde, vraiment. C’est incroyable. J’ai oublié de dire, c’est mon collègue. Enfin, il est freelance pour la boîte dans laquelle je travaille et c’est sûr j’ai dû débloquer certains trucs dans ma tête (voir l’épisode Daniel, mon ex-collègue à Barcelone) pour pouvoir me lancer avec lui.
Le week-end dernier, on avait trois jours de congés (la fête des Patriotes !) et l’on s’est fait notre premier week-end en amoureux. Ça aussi, j’avais oublié tellement ça faisait longtemps.
On a loué une voiture et pris les petits chemins entre Montréal et Québec, c’était vraiment cool. Le bonhomme aime voyager comme moi et tout s’est passé comme sur des roulettes…
Je verse complètement dans le mail à l’eau de rose arrosé de crème pâtissière dégoulinante!!! Mais c’est tellement inattendu, tellement inespéré… C’est à la fois le mec que j’attendais mais que je ne croyais pas trouver ici, là, lui.
Lui, il était là, il m’avait remarqué depuis le premier jour de mon arrivée dans ma boîte. Et moi, j’étais là à me dire : « un collègue, plus jamais » (en témoigne le montréal n°2) et voilà que je passe un week-end top cool de la balle en mousse + ce dernier mois qui est passé à vitesse grand V.
Enfin voilà. J’y crois à peine que c’est moi qui écrit ces mots. Je vous vois d’avance, vous, mes copines célibataires qui se disent « pffff… c’est cool mais, à moi, quand ça m’arrive ?? ». J’étais la même et je le suis encore, au fond de moi, la petite Christelle égratignée par ses histoires de cœur sans queue ni tête. (Je repense à toi, Estelle, dans un bar à Barcelone, me certifiant à quelques mois de ton mariage : « mais Christelle, tu vas finir par le trouver, c’est sûr »
Je me garderai bien de ressortir le même discours aujourd’hui, surtout après seulement un mois en couple… mais j’ai comme l’impression que ça va durer. C’est ce que j’aimerais, c’est ce qu’il aimerait aussi… C’est mon Roger Rabbit, les mecs, je vous assure.
Je crois même que Souris (rappel : mon héro peluche qui voyageait avec moi depuis 23 ans et que j’ai oublié à Pékin) du loin de sa Chine Populaire nous regarde avec bienveillance… D’ailleurs, il ferait mieux d’éviter le Sichuan… car je garde l’espoir de le retrouver.
IL est un peu bouddhiste sur les bords. Comme moi, il s’intéresse à la philosophie de Bouddha et si Bouddha m’a pris Souris, il l’a peut-être réincarné en LUI ! OHHHHH !!! Mais je divague complètement !!! Je vais aller me coucher ! Nan, blague à part, je n’y aurais jamais pensé si VOUS, VOUS qui lisez ce mail ne m’aviez pas fourré ces niaiseries dans la tête… Moi qui étais tellement désespérée à mon retour de Chine.
Vous me disiez : « Si j’avais perdu Souris, j’allais justement pouvoir le remplacer au lit »…
Et la prophétie s’est réalisée. « Je suis ensorcelée » comme chantait Lorie (ça fait deux références musicales à Lorie dans ce mail, soit deux fois trop)
Bref, j’arrête de parler d’amour et de réincarnation. Ça devient écœurant. Où est passée la Christelle pleine de gouaille, celle qui parle comme un camionneur des mecs et des histoires de coeur?
« Gérard » (Gégé pour les intimes) est toujours là. Rassurez-vous, j’ai toujours mes couilles bien en place dans mon jean slim. Je conclus juste en vous annonçant que j’ai le projet de rester à Montréal au moins pour les 6 autres prochains mois.
D’une part, le mec que j’aime me le demande ; mais me fait aussi comprendre qu’il me suivrait dans n’importe quel pays où je veux aller (joie !). Et puis surtout j’ai encore un bout de chemin à faire ici. Si mon agence veut bien prolonger mon contrat, je signerai de nouveau pour six autres mois en attendant de trouver autre chose. Je ne veux pas non plus avoir un CV qui ressemble (trop) à un gruyère… Un an d’expérience dans une même boîte, ça ne me fera pas de mal. J’ai mes hauts et mes bas, comme vous tous, mais j’ai toujours cette volonté en moi de faire bouger les choses, de faire bouger ma vie (tribute to Ophélie Winter « Bouge ton attitude ! »)
On verra bien. Je procrastine, je procrastine… mais c’est moi aussi, je suis flemmarde, je suis comme ça… Je sais que je vais les faire mes putains de trucs (mes illustrations, trouver un travail qui me corresponde) mais ça ira à mon rythme, voilà tout. Mon rythme de tortue, de mouche complètement sonnée après s’être reçu un coup de tapette dans la face… La mouche ne sait pas trop vers où voler mais elle vole quand même jusqu’au moment où elle reprendra ses esprits (l’exemple de la mouche était-il vraiment le bon ? Car, après tout, une mouche, ça atterrit toujours dans la merde. C’est ça, elle cherche la merde !)… BREF !
Je crois qu’on va être bon pour cette fois.
J’arrive à la fin de ce mail. Ça tombe bien, je suis vachement en retard sur ma préparation du dîner de ce soir et je dois aller faire des courses. Je n’ai encore fait que la moitié des choses que je devais faire pendant le week-end, mais bon… Cette semaine était quand même une semaine productive et je suis contente de moi (un peu).
Merde ! J’ai oublié de vous dire qu’on partait à Chicago début Juillet avec « ma mie ». Je suis fucking happy ! Chicago, la ville du crime, du vice et de Capone, oh yeah.
J’ai aussi zappé de vous raconter mes trois- fabuleux- jours à New-York, New-York USA avec mon amie Cécile qui est aussi venue à Montréal…
Aahhhh, « mes premiers pas aux Amériques »… C’était biensûr génial, mythique, grand, beau à voir, pas du tout oppressant comme j’avais un peu peur que ça soit.
Je n’ai pas tout vu de cette ville à mille tiroirs et j’y retournerai, c’est sûr. On est jamais rassasié de New-york. Cette ville rend boulimique. Pas boulimique de façon péjorative, (quoique la masse de hot-dogs que j’ai avalé pourrai peut-être me faire dire le contraire) mais boulimique de culture, de lieux, de découvertes, d’expos, de gens, de rencontres… Everything seems to be in New-York. C’est fou. D’ailleurs, Astrid, est-ce que tu t’accroches toujours à ton projet de retourner y vivre ? Dis-moi ! Et la Fémis ?
Cécile, tu le sais déjà : c’était très cool de t’avoir ici, à Montréal et à New-York. Je pense à toi et je pense à VOUS TOUS qui êtes à Paris, dans la banlieue (ne l’oublions pas la banlieue !), à Bucarest, à Londres, à Barcelone, à Mallorca, à Montaigu (Guy et Marie T on the rocks!), à Ste Oies-du-Bourg-en-Brie… DONNEZ-MOI DES NOUVELLES nom de dieu !!! Moi aussi, je veux tout savoir de vos vies, savoir si vous allez bien, vous redonnez du courage s’il le faut… D’ailleurs, je pourrais commencer tout de suite et vous foutre la paix en achevant enfin ce mail !
Ps. En rédigeant ce mail, je retrouve la jubilation grisante que me procure l’écriture.
Je vous embrasse,
À la prochaine.
Votre ambassadrice du bon goût français à travers le monde.
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