Vous ne me croyez pas capable d’écrire un post vite fait ? Hop-hop ?
Oui, oui, je le suis ! (et surtout mon corps je veux me coucher avant minuit)
Je sais que j’ai tendance à être bavarde ces derniers temps, mais que vous voulez-vous, je crois que c’est dans ma nature !
L’histoire du jour est courte : à la question « qu’est ce qui reste quand on cuisine de la brioche ? »
… Eh bien, il reste des blancs d’œufs ! Les jaunes ayant servi à dorer cette dernière, vous auriez absolument tort de ne pas mettre les blancs restant à contribution. Ils ne demandent que ça. Et quoi de mieux que de faire des macarons (remember… You FAIL) des mini-meringues ?
(oui, un peu comme tout le monde, j’ai craqué pour le livre « Mini pâtisseries maison » : c’est tellement cute quand c’est mini !)
Alors, hop hop, voilà la recette !
22h26… je suis bonne. Yé !
Recette des minis-meringues
ouh-la-la-la qu’elles sont mignonnes
INGRÉDIENTS
– 2 blancs d’œufs
– 70 g de sucre en poudre
– 70g de sucre glace (puis je n’ai pas résité à en re-saupoudrer dessus… Juste parce que ça me tentait pour les photos, et que c’était miiiignon. Mini et poudré, c’est miiiiiignon.*
– 1 pincée de sel
DO IT YOURSELF
– Montez les blancs progressivement (avec la petite pincée de sel, pour aider). Dès qu’ils moussent et que des pics se forment, ajoutez le sucre (en 3 fois) et continuer de fouetter.
– Lorsque les blancs sont fermes**, ajoutez le sucre glace à la spatule.
– Remplir une poche à douille du mélange (ou faire un petit trou dans le fond d’un sac plastique)*** et dressez de petites boules sur une plaque anti-adhésive ou du papier sulfurisé.
– Cuire à 100-125ºC environ 1 heure (oui c’est long, mais c’est comme ça)… Surveiller son four et ajuster la température, si besoin est, reste la meilleure solution.
– Laissez refroidir un peu avant de décoller les meringues de la plaque. Les meringues sont cuites quand elles se décollent facilement sans forcer dessus comme une brute affamée. ****
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**** Ceci est un mémo personnel.
* Il paraît que je n’ai pas la forme ce soir !
** Je fais le test du bol que je retourne à 180°. Si rien ne bouge, c’est que c’est ferme. Un peu comme avec le derrière !
*** Je suis un boulet avec la poche à douille. J’ai beaucoup de mal à la remplir, genre “j’ai deux mains gauche ET un bras en mousse”. Néanmoins, grâce à un énorme verre à cocktail ramené de notre hôtel à Vegas cet été (< oh la frime !) qui prenait la poussière… j’ai pu faire ça “correctement” en glissant la poche à douille à l’intérieur du verre qui lui offrait ainsi tout le soutien nécessaire (système D !)
