Sans Nom– Décoration de Sapin. Technique inconnue. Exemplaire unique.
Plus de posts sur ce blog ? Mais que ce passe-t-il ? Christelle profiterait-elle un peu trop de ses vacances ? La trêve de Noël durerait-elle un peu trop longtemps ? Aurait-elle du mal à digérer le ragoût de boulettes ?*
Mais non ! Rien de tout ça ! En vrai, je m’amuse avec mon nouvel appareil photo ! Et oui ! Enfin ! J’ai investi dans ma passion naissante ! Alors ces derniers jours, je shoote, je shoote, je shoote. J’apprends, je teste les réglages. Je pense avoir fait pas loin de 500 photos (dont 400 tests) (un mot poli pour pas dire « de merde »).
Et puis sinon, j’ai aussi profité de Noël, de son lot de repas copieux, de cadeaux, d’amour et d’amis. J’ai pleins de choses à vous raconter mais comme je veux pas tout dire en une fois et dans l’ordre, je vais faire des points comme ça me vient, et vous vous débrouillerez avec ça :
1- J’ai eu pleins de cadeaux trop cools à Noël. Vous allez sûrement en voir quelques uns d’ailleurs sur ce blog. En autres, j’ai eu un ukulélé ROUGE, brillant et beau comme une Ferrari. J’adore. Dans quelques temps, je vous joue du Johnny Cash finger in the nose.
2- Rapport à la photo de bouffe : j’ai l’impression de rentrer dans un autre monde. Le monde où tout n’est pas obligé d’être photographié en gros plan. J’ai la fâcheuse tendance à vouloir plonger l’objectif dans le plat, mais ce n’est plus nécessaire maintenant.
3- Je crois que j’aime un peu trop le flou. Ce qui n’est pas “toujours” adapté à la photo culinaire… Mettons que je rentre dans ma phase d’expérimentations, mais si ça devient trop le flou artistique, vous pourrez me le dire.
4- Et puis en attendant de reshooter les plats du dîner d’hier soir (oui, j’ai pas encore trouvé le moyen de faire du stylisme rapido, prendre des photos et s’occuper de ses invités tout en même temps), je vous laisse sur mon exercice n°1 : la figure du Sapin de Noël : faible éclairage, ambiance à préserver, jeu de nets et flous, test du mode manuel, etc. + un bonus à poils (grrr…
* On s’en reparle !